Phase XI –PERIODES DE RUDES EPREUVES COMME PREVU
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Chap. 2 : LE SONGE DE 2009 – FUITE DE MA PETITE FAMILLE VERS UN PAYS LOINTAIN ; LE CANADA, au Manitoba.
NB: Le nom « Manitoba » provient vraisemblablement du mot cri « man-into-wah-paow » qui signifie « le passage du Grand Esprit »
et Chap. 3 : DEUX SIGNES DU SONGE : EMAIL D’UN AMI ET UN APPEL TELEPHONIQUE

(La suite)
Après cette communication, nous réalisions que tout cela était la confirmation du songe. Dieu avait lui-même prit la résolution de nous faire quitter l’Afrique quel que soit le temps que cela prendra. Il avait décidé d’enlever le Fils du Mvett et toute sa famille par surprise, comme il l’avait fait pour le prophète Elie, pensais-je. Mais l’incrédulité me poussait de faire une dernière vérification avant de croire que c’était bien le Dieu de ma grand-mère qui était derrière ce processus. Nous choisissions donc de profiter de l’information reçue d’Isaac pour essayer de lancer une application pour une résidence permanente au Canada. Il était question que nous deux remplissions les informations demandées afin qu’il soit déterminé qui de nous deux devrait être le requérant principal.

Après avoir rempli le formulaire de souscription en début juin 2009 et que X ait payé les frais d’ouverture du dossier et des honoraires comme il avait promis, j’avais alors compris que c’était bien Dieu lui-même qui avait pris le contrôle de la survie de ma petite famille. Dans cette attente stressante, la réponse nous fut communiquée que notre dossier de candidature était recevable! J’étais désigné comme requérant principal suite à ma longue expérience, plus de 10 ans dans le domaine de la comptabilité. Nous avions encore craint et respecté ce Dieu invisible et silencieux. En dehors d’un nombre très restreint de personnes très proches et qui devaient garder ce secret, personne d’autre n’en était informé. Car il y a souvent des situations dans la vie où il faudra savoir rester la bouche fermée et rester silencieux comme c’est indiqué dans les Saintes Écritures. 

La réalisation du songe de Dieu pour les Ondo en avril 2009, venait d’être d’enclencher. Je m’étais disposé à l’idée de quitter définitivement mon pays, mon Afrique pour le Canada. Dieu était Dieu, disais-je en moi-même. Dans notre compréhension des symboles, c’était donc Jésus-Christ qui était au Centre de notre sortie du stade. Mais pour parfaire sa représentation, il avait utilisé mon ami Isaac pour faire cette Œuvre en faveur de ma petite famille. Isaac, devint donc simplement mon parrain physique dans ce processus d’immigration vers le Canada. Le coût exorbitant de ce dossier et le temps que cela avait pris seront dévoilés dans les prochains chapitres. Nous étions donc prêts à continuer de souffrir dans le silence et le calme durant tout le processus sans que personne ne s’en rende vraiment compte.

(FIN)