(Le Français suit)
From: Trade Commissioner Service, March 5, 2020
https://www.tradecommissioner.gc.ca/canadexport/0004653.aspx?lang=eng

The native of Vancouver, who had already studied abroad at the College of Europe in Bruges, Belgium, and was then living in London, wrote the foreign service exam there, mostly to appease her family. They appreciated her sense of wanderlust but preferred for her to be rooted in Canada, and they figured that a position representing the country internationally would accomplish that.

A time of social change

Patricia Marsden‑Dole had caught the travel bug long before applying to Canada’s foreign service in early 1969.

In those days, however, many such professions were not entirely open to women. “You could be a nurse, a librarian or a teacher,” recalls Marsden‑Dole, now 75.
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Ouvrir la voie comme première femme déléguée commerciale du Canada
De: Service des délégués commerciaux, 5 Mars 2020
https://www.deleguescommerciaux.gc.ca/canadexport/0004653.aspx?lang=fra

Patricia Marsden‑Dole avait depuis longtemps attrapé la piqûre du voyage avant de postuler pour un poste au Service extérieur du Canada en début 1969.

La femme native de Vancouver, qui avait déjà étudié à l’étranger au Collège d’Europe à Bruges, en Belgique, et qui habitait alors à Londres, a passé l’examen du Service extérieur là‑bas, principalement pour apaiser sa famille. Ils connaissaient son sens de la découverte, mais voulaient qu’elle renoue avec ses racines au Canada. Ils ont donc pensé qu’un poste de représentante du pays au niveau international permettrait de concilier ces deux aspirations.

Une époque de changement social

À cette époque, cependant, de nombreuses professions de ce type n’étaient pas entièrement accessibles aux femmes. « Vous pouviez être infirmière, bibliothécaire ou enseignante », se souvient Mme Marsden‑Dole, aujourd’hui âgée de 75 ans.

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